La Trinité à l’étroit
A l’instar des protagonistes, les pianos sont mobiles et se déplacent autour d’une sorte de banque d’accueil. Celle-ci se transforme tour à tour en balançoire ou bien en escalier pour une photo de groupe à l’occasion du „Amen, jusqu’à devenir un „argument“ supplémentaire lors d’une dispute. C’est là le propre de ce collage visuel toujours dynamique et empreint d’ironie. Mais ce qui sous-tend tout le spectacle, c’est un scepticisme caustique, tantôt plus appuyé, tantôt plus léger, à l’égard de nos rituels et de la sincérité de nos démonstrations de foi.
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